Molière Shakespeare à Montréal (Français)
- Adeline
- 26 avr. 2020
- 1 min de lecture
Dernière mise à jour : 8 mai 2020
Une fois dans la langue de Molière tout s'éclaire alors que tomber dans Shakespeare c'est le pire Risquons la comparaison et étudions Quand on me parle français et que j'y répond c'est si bon On y est toutes et tous, les Mathilde, Jean, Jacques, Colette et j'en passe. On discute et on échange. D'un coup et d'un seul ils brisent l'enthousiasme :" hello how are you?" On déglutie. Voyons, on est tous ensemble la French Gard (garde française) de McGill et Concordia. Nous aussi pour étudier une dizaine de Francos comme ils nous appellent. Ils? Les Shakespeariens bien sûr ! On est une dizaine et ils sont cinq.
Alors dans la dizaine de Moliériens 5 pour continuer en Français 5 to switch in English. Alors on se choque et on tend le poing vers le haut. Risquons la comparaison et étudions. Oui observons une ville entière s'est séparée. À l'est les Francos à l'ouest les Anglos. Une loi pour *protéger * le Français parler au Québec Comprenons que même Monsieur Montcalm et Sir Woolf en sont mort Alors comprenons ce que signifirais donc *risquons ? De nos jours une loi peut réfreindre les passions? A t-elle réussis? Je vous en laisse la conclusion! Revenons à notre histoire de Francos-Anglos. Ces 15 étudiants assis à McGill obligés de rentrer chez eux à cause d'une grande tempête hivernale. -45 degrés et 50 cm de neige. C'est magnifique. Aucune hésitation pour se soutenir et se donner la main. Alors pour la comparaison qui devait déterminer le meilleur et bien reconnaissons l'absurdité de l'exercice... à cet instant seulement. Yes? ou *Nan*.
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